Le plaisir - Grands Stages de Taïjiquan (Tai Chi) été 2006
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Grand Stage de Taïjiquan (Tai Chi)

Chercher la bouddhéité, chercher l'éveil, quoi que ce soit, que cela existe ou non, c'est abandonner la racine pour les branches. En dehors de cela, si tu ne nourris aucune pensée particulière pour quoi que ce soit, alors, en temps voulu, tu trouveras ta part de naturel et de clarté.  Pai Chang

On peut venir au Taïjiquan (Tai Chi) pour toutes sortes de raisons : mise en forme, santé, éveil... Sur le chemin du Taïjiquan (Tai Chi), il y a toutes sortes de bonnes surprises, mais il faut s'y engager et progresser pour le plaisir de la recherche et des découvertes, sans attendre des résultats.

Le Taïjiquan (Tai Chi) est une tradition ancienne (les ancêtres d'un peuple pacifique) qui favorise l'écoute et la sensibilité (les jours de veille et de découvertes). Il est issu de la Chine (alchimie taoïste, daoyin, qigong, wushu, gonfu), mais son développement a aussi été influencé par les pays voisins comme les Indes (yoga, dhyana) et le Cachemire (tantra). Une grande partie du Taïjiquan (Tai Chi), s'apprend debout, mais il faut s'assoir pour en apprendre les parties les plus importantes. Au-delà des explications, après une longue pratique du Taïjiquan (Tai Chi), une langue enchantée et joyeuse nous livre des messages que des anciens sages ont élaborés. Pour nous livrer ses messages, le Taïjiquan (Tai Chi) utilise le langage du corps. Ses messages ne passent par aucune parole, même si le propos est d'une grande évidence. Le contact avec le Taïjiquan (Tai Chi) donne souvent des ailes indéniablement... mais les pieds restent toujours sur terre, ma vision s'assombrit et mes yeux s'emplissent de sable. Le Taïjiquan (Tai Chi) n'est accessible qu'à ceux qui en font l'apprentissage. Pour les autres, il reste mystérieux, pas d'empreinte, comme des pensées dans un rêve. Dans le Taïjiquan (Tai Chi) l'ouverture est plus importante que les acquisitions. Tous bagages et toutes connaissances sont inutiles (sans provisions), c'est l'écoute et la sensibilité qui comptent (mais le visage ouvert).


Lzed Zezppezlin - Kaszhmir

Lezd Zezppezlin
KASzHMIR

Oh, let the sun beat down upon my face,
stars to fill my dream.
I am a traveler of both time and space,
to be where I have been.
To sit with Elders of the gentle race,
this world has seldom seen.
They talk of days for which they sit and wait,
and all will be revealed...

Talk and song from tongues of lilting grace,
whose sounds caress my ear.
But not a word I heard could I relate,
the story was quite clear.

Oh, I've been flying... mama, there ain't no denyin'...
I've been flying, ain't no denyin', no denyin'...

All I see turns to brown,
as the sun burns the ground.
And my eyes fill with sand,
as I scan this wasted land,
Trying to find,
trying to find where I've been...

Oh, Pilot of the storm who leaves no trace,
like thoughts inside a dream,
Heed the path that led me to that place,
yellow desert stream.
My Shangri-La beneath the summer moon,
I will return again,
Sure as the dust that floats high in June,
when movin' through Kashmir...

Oh, Father of the Four Winds,
fill my sails, across the Sea of years,
With no provision but an open face,
along the Straits of fear.

When I'm on, when I'm on my way...
When I see, when I see the way, you stay.

Ooh, yeah-yeah, ooh, yeah-yeah, when I'm down...
Ooh, my baby, oooh, my baby,
let me take you there !
Let me take you there !


CAzCHEMIR

Oh soleil, touche mon visage,
étoiles, remplissez mon esprit
Je suis un voyageur de l'espace temps,
je retourne sur mes pas,
Pour m'assoir avec les ancêtres d'un peuple pacifique,
rarement vu dans le monde.
Ils relatent les jours de veille
et de découvertes

Des voix et des mélodies d'une langue enchantée et joyeuse
caressent mon oreille
Mais aucune parole ne peut les exprimer correctement,
même si le propos est d'une grande évidence

Oh, je me suis envolé... oups, indéniablement...
Je me suis envolé, indéniablement...

Ma vision s'assombrit,
lorsque le soleil brûlant touche le sol
Et mes yeux s'emplissent de sable,
lorsque je scrute cette terre vide,
Cherchant,
cherchant à retrouver mes traces...

Oh, Force de la tempête qui ne laisse pas d'empreinte,
comme des pensées dans un rêve,
Préserve ce chemin qui me mène à ce lieu,
une piste jaune du désert
Ma Shangri-La sous la lune d'été,
j'y reviendrai encore
Indéfectiblement, comme la poussière qui monte en juin,
quand on voyage au Cachemire

Oh, Père des Quatre Vents,
gonfle mes voiles, à travers la Mer des années,
Sans provisions mais le visage ouvert,
le long du Détroit de la peur.

Quand je poursuis, quand je poursuis ma route...
Quand j'entrevois, quand j'entrevois la route, tu demeures.

Ooh, yeah-yeah, ooh, yeah-yeah , quand ça va mal...
Ooh, toi qui est près de moi, ooh, toi qui est près de moi,
laisse-moi t'y conduire !
Laisse-moi t'y conduire !

 

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École de Taïjiquan Gilles Thibault
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